Votre récit
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Votre récit
Acuado Lun 15 Déc - 2:42
Maintenant que le concours est terminé il est temps de montrer votre récit. Étant du texte, nous allons les séparer du dessin.
(J'ai pas fait de récit donc je vous laisse montrer le votre)
(J'ai pas fait de récit donc je vous laisse montrer le votre)
Acuado- Disco-man
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Re: Votre récit
KeyoX Lun 15 Déc - 9:20
Je commence 
L'envol du Rider
L'envol d'un aigle. On a souvent
comparé la sensation de planer après un saut au vol gracieux d'un oiseau. Je pense à présent que la sensation n'est tout simplement pas comparable. Aussi loin que je m'en souvienne, j'ai toujours ressenti dans les airs comme un souffle me portant, me protégeant de la chute, me gardant en son sein comme une mère. C'est ainsi que je ressens le Jump, le saut, vol-plané ou tout simplement le fait de ne pas toucher le sol.
La première fois que je chaussais mes rollers, j'étais vers Backstreet. L'hiver frappait fort, mais comme tous les jeunes, je ne supportais pas de rester à l'intérieur alors que cette neige immaculée m'attendait. Je sortais et pris ces rollers que j'avais acheté quelques jours plutôt, un sport comme un autre qui me ferait bouger du centre commercial. J'estimais les chances de faire une chute, et en trouvais beaucoup, et ne tentais donc rien pendant les premières heures, regardant pourtant les rampes et autres objets de convoitise des riders comme d'étranges lieux de culte dont ma religion m'interdisait l'exercice. Pourtant, au fond de moi, ma seule volonté ne suffisait plus à emprisonner ma curiosité et la tentation m'envahissait par à-coups. Je me levais de mon banc sur lequel je gelais littéralement et me plaçais à une dizaine de mètres d'un rail qui paraissait à un débutant comme moi un mur de ferraille arrondi dont un bulldozer ne viendrait pas à bout. Je ne perdis pourtant pas ma combattivité, et finalement, je prenais appui sur mes rollers et courrais. Je connaissais les bases, et me penchais donc, prenant le plus de vitesse possible, et finalement, je sautais. Le roller droit quitta le sol, frappa maladroitement le rail réussit à se stabiliser, ce ne fut pas aussi facile pour son jumeau. Mon pied se prit le bord du rail et fut repoussé, je perdis équilibre et m'écrasai sur le sol, à côté de cette barre métallique qui ne me faisait plus aussi peur que cela, maintenant que je savais la chose plus facile que prévue. Je me relevais avec difficultés, je n'avais mis aucune protection ce jour-là, ne comptant pas tenter l'impossible. Je le regrettais ,et me maudissais intérieurement pour les minutes précédentes, mais me repris aussitôt et retournai à mon point de départ. Je pensais saisir la technique, mais la pratique me manquait. Je repartis à une vitesse moindre, et tombais à nouveau. Il me manquait quelque chose, un je-ne-savais-quoi qui semblait rendre certains riders excellents, alors que les autres ne savaient même pas slalomer. Finalement, je repartis de plus belle, en me concentrant sur mon équilibre, ma vitesse et mon angle d'approche. J'y réussis.
L'angle était bon et je sautais comme je le pouvais, aussi haut que possible et plaçant mes pieds comme je le pouvais. Je tombais avec un peu trop de poids sur ma jambe droit et équilibrais le tout le plus vite possible. Ça y était, je grindais ! Je ne saisissais pas vraiment ce qui m'arrivait, la vitesse trop grande pour que je puisse saisir
exactement où j'étais, mais je savais que j'avais franchi une étape, restait la dernière, sortir de ce rail démoniaque en un seul morceau. Je le quittais en fait sans m'en rendre compte, mes pieds se plaçant à peu près correctement. Mon allure ne baissait pas le moins du monde, et je compris que je ne m'arrêterai pas comme cela. Devant moi un half-pipe se dressait, et j'allais droit vers l'une des rampes. Je prenais mon courage à deux mains, et puisqu'il le fallait, je priais le bon dieu qu'il ne m'arrive rien. Et fatalement, je commençais à monter. Rapidement, mais je ne m'étais pas bien penché, je glissais peu à peu vers l'arrière, et inévitablement, je tombais. Ma chute fut courte, mais très douloureuse. D'aussi loin que je me rappelles, ce fut probablement la chute la plus pitoyable qu'on eut vue. Je tombais inexorablement sur le dos et la tête, me cognant si fort que je ne vis plus très bien ce qui se passait. J'ouvrais les yeux quelques secondes après, et, me retournant avec difficultés, je me tenais la tête et essayais en vain de faire passer la douleur. Pourtant aux tréfonds de mon être, je sus que j'avais aimé cette vitesse, même incontrôlable, même si je ne savais pas ce que je faisais, je me jurais peu à peu que j'arriverai à surmonter la peur et à gagner les hauteurs.
Cela fait six mois maintenant. J'ai bien sur fait beaucoup de progrès. Je pense aujourd'hui que je ne suis toujours pas assez tombé, car je vois des riders bien meilleurs que moi tous les jours, et la pression ne fait qu'augmenter. Je ne veux pas être le meilleur, sauf si celui qui l'est va le plus haut. Alors je le serai, car mon but est d'atteindre les cieux. Ce ciel si intouchable, si inaprochable, qu'il en est superbe. Tous les riders rêvent de le toucher, mais je
pense que seuls certains pourront « voler ». Je tiens cette expression d'une rencontre s'étant passée
quelques semaines plutôt.
Cela faisait alors quatre mois que je ridais. Je séjournais à Backstreet comme à l'accoutumée, c'était devenu mon fief et je le défendais comme je le pouvais, malgré les autres riders qui venaient interrompre mes séances d'entraînement. Park Town avait toujours été le centre de défis entre gangs, et je n'aimais pas que ce lieu où j'avais commencé le roller soit une zone de combats entre ces sportifs aux regards avares. Je ridais donc seul, près du terrain de basket, là où trois rails assez élevés se dressaient, et, après deux virages à gauches dans des couloirs loin d'être larges, se dressait une rampe que j'appréciais beaucoup. Je grindais à présent beaucoup mieux qu'à mes premiers essais, malgré cela, une chose me laissait sur ma faim; je ne maîtrisais pas suffisamment de tricks, et cela me faisait défaut, je ne Jumpais pas assez haut, ne tournais pas assez sur moi même, j'étais plus lent que les autres et plus désespéré que jamais. C'est une jeune femme qui montra la voie. Je tombais une énième fois en tentant de sauter au dessus d'un camion puis sur un rail élevé, et me relevais avec du mal, lorsque la fille m'aida en me prêtant son épaule.
C'était une belle demoiselle aux longs cheveux roux ondulés, de grands yeux bleus, un corps élancé et un sourire angélique. Elle portait des vêtements serrés et des rollers rouges et blancs. Je lui rendais son sourire et entamais une conversation. « Moi c'est KeyoX, je te remercie pour ça.
-Pas de problème. Moi c'est Ery. Qu'essaies-tu de faire ?
-Je veux rider sur le butting là-bas, puis sauter sur la camionnette et enfin sauter, faire un front flip et grinder sur le rail. C'est bien possible non ?
-Bien sur ! » Sur ce elle me sourit à nouveau et me lâcha. Elle prit de l'élan et partit à une vitesse hallucinante vers le butting. Elle sauta et le vent sembla la porter. Elle ne toucha presque pas le mur, mais prit appui et fit un saut gigantesque vers le camion. A peine touché qu'elle repartit aussitôt, accélérant. Elle sauta alors, et j'écarquillais les yeux. Elle se pencha en avant, roula sur elle-même et se rattrapa in extrémis sur la bordure en acier du grillage du terrain de basket. Le grind s'enchaîna alors, mais elle ne s'arrêta pas là. La belle rousse fit le tour du terrain à des mètres du sol, puis se laissa tomber, garda l'allure et fonça vers la rampe en face d'elle, elle tourna alors sur elle-même, un turn grip rapide et précis, et elle retomba majestueusement dans une posture théâtrale. Je tombais à terre et ne voyais plus très bien ce que je faisais là. Je l'admirais autant que je la détestais, pour cette démonstration fabuleuse et si technique, parce qu'une jeune femme me battait alors que je n'y arrivais pas, réaction puérile que je chassais aussitôt. Je me levais et parcourrais le chemin nous séparant, contournant ce terrain de basket, abandonné de nos jours pour le roller, et la rejoignant enfin, celle-ci se recoiffant. Je lui pris les mains et les serrais, et l'implorais de m'apprendre ce qu'elle venait de faire, tout ce qu'elle venait d'accomplir. Elle sourit et me baisa le front, je rougis tellement que mon écharpe recouvra bientôt tout mon visage, qu'elle s'empressa d'abaisser pour me fixer, nos yeux se contemplant. « Je pense que tu peux faire un bon rider, je t'ai souvent observé tu sais ?
-Je n'en ai jamais eu l'impression. Je sais que je peux être meilleur, mais s'entraîner seul est si ennuyant. Malheureusement, tu n'as sûrement pas le temps, j'ai cru voir l'emblème d'un gang...
-Ne t'inquiète pas pour eux... Regardes plutôt. Les garçons ! » Un groupe sortit alors des toits, une dizaine de jeunes hommes de mon age. Ils étaient tous différents, mais avaient tous un point commun, l'insigne d'un lion sur le blouson. Un lion...
Le plus grand des garçons s'approcha de moi. Il était assez carré, des traits durs et épais façonnaient son visage, des yeux marrons le rendaient étrange. La personne en face de moi devait sûrement être le chef du gang, c'était un homme plus qu'un adolescent. Je souriais, mais celui-ci me tendit la main. Je serrais alors celle-ci, espérant l'impressionner. C'est alors que celui-ci rit d'une grande et impressionnante voix, et la rousse éclata de rire elle-aussi. J'essayais de rire mais je ne trouvais pas la situation très drôle. Alors l'homme me sourit et dit de sa grosse voix : « Bienvenue chez les Rois Lion. »
Je découvris alors un monde étrange, excitant, d'aventures et d'amitié, de passion et de danger, et je ne regrettais pour rien au monde d'avoir enfilé ces rollers.
A vous les studios :D
L'envol du Rider
L'envol d'un aigle. On a souvent
comparé la sensation de planer après un saut au vol gracieux d'un oiseau. Je pense à présent que la sensation n'est tout simplement pas comparable. Aussi loin que je m'en souvienne, j'ai toujours ressenti dans les airs comme un souffle me portant, me protégeant de la chute, me gardant en son sein comme une mère. C'est ainsi que je ressens le Jump, le saut, vol-plané ou tout simplement le fait de ne pas toucher le sol.
La première fois que je chaussais mes rollers, j'étais vers Backstreet. L'hiver frappait fort, mais comme tous les jeunes, je ne supportais pas de rester à l'intérieur alors que cette neige immaculée m'attendait. Je sortais et pris ces rollers que j'avais acheté quelques jours plutôt, un sport comme un autre qui me ferait bouger du centre commercial. J'estimais les chances de faire une chute, et en trouvais beaucoup, et ne tentais donc rien pendant les premières heures, regardant pourtant les rampes et autres objets de convoitise des riders comme d'étranges lieux de culte dont ma religion m'interdisait l'exercice. Pourtant, au fond de moi, ma seule volonté ne suffisait plus à emprisonner ma curiosité et la tentation m'envahissait par à-coups. Je me levais de mon banc sur lequel je gelais littéralement et me plaçais à une dizaine de mètres d'un rail qui paraissait à un débutant comme moi un mur de ferraille arrondi dont un bulldozer ne viendrait pas à bout. Je ne perdis pourtant pas ma combattivité, et finalement, je prenais appui sur mes rollers et courrais. Je connaissais les bases, et me penchais donc, prenant le plus de vitesse possible, et finalement, je sautais. Le roller droit quitta le sol, frappa maladroitement le rail réussit à se stabiliser, ce ne fut pas aussi facile pour son jumeau. Mon pied se prit le bord du rail et fut repoussé, je perdis équilibre et m'écrasai sur le sol, à côté de cette barre métallique qui ne me faisait plus aussi peur que cela, maintenant que je savais la chose plus facile que prévue. Je me relevais avec difficultés, je n'avais mis aucune protection ce jour-là, ne comptant pas tenter l'impossible. Je le regrettais ,et me maudissais intérieurement pour les minutes précédentes, mais me repris aussitôt et retournai à mon point de départ. Je pensais saisir la technique, mais la pratique me manquait. Je repartis à une vitesse moindre, et tombais à nouveau. Il me manquait quelque chose, un je-ne-savais-quoi qui semblait rendre certains riders excellents, alors que les autres ne savaient même pas slalomer. Finalement, je repartis de plus belle, en me concentrant sur mon équilibre, ma vitesse et mon angle d'approche. J'y réussis.
L'angle était bon et je sautais comme je le pouvais, aussi haut que possible et plaçant mes pieds comme je le pouvais. Je tombais avec un peu trop de poids sur ma jambe droit et équilibrais le tout le plus vite possible. Ça y était, je grindais ! Je ne saisissais pas vraiment ce qui m'arrivait, la vitesse trop grande pour que je puisse saisir
exactement où j'étais, mais je savais que j'avais franchi une étape, restait la dernière, sortir de ce rail démoniaque en un seul morceau. Je le quittais en fait sans m'en rendre compte, mes pieds se plaçant à peu près correctement. Mon allure ne baissait pas le moins du monde, et je compris que je ne m'arrêterai pas comme cela. Devant moi un half-pipe se dressait, et j'allais droit vers l'une des rampes. Je prenais mon courage à deux mains, et puisqu'il le fallait, je priais le bon dieu qu'il ne m'arrive rien. Et fatalement, je commençais à monter. Rapidement, mais je ne m'étais pas bien penché, je glissais peu à peu vers l'arrière, et inévitablement, je tombais. Ma chute fut courte, mais très douloureuse. D'aussi loin que je me rappelles, ce fut probablement la chute la plus pitoyable qu'on eut vue. Je tombais inexorablement sur le dos et la tête, me cognant si fort que je ne vis plus très bien ce qui se passait. J'ouvrais les yeux quelques secondes après, et, me retournant avec difficultés, je me tenais la tête et essayais en vain de faire passer la douleur. Pourtant aux tréfonds de mon être, je sus que j'avais aimé cette vitesse, même incontrôlable, même si je ne savais pas ce que je faisais, je me jurais peu à peu que j'arriverai à surmonter la peur et à gagner les hauteurs.
Cela fait six mois maintenant. J'ai bien sur fait beaucoup de progrès. Je pense aujourd'hui que je ne suis toujours pas assez tombé, car je vois des riders bien meilleurs que moi tous les jours, et la pression ne fait qu'augmenter. Je ne veux pas être le meilleur, sauf si celui qui l'est va le plus haut. Alors je le serai, car mon but est d'atteindre les cieux. Ce ciel si intouchable, si inaprochable, qu'il en est superbe. Tous les riders rêvent de le toucher, mais je
pense que seuls certains pourront « voler ». Je tiens cette expression d'une rencontre s'étant passée
quelques semaines plutôt.
Cela faisait alors quatre mois que je ridais. Je séjournais à Backstreet comme à l'accoutumée, c'était devenu mon fief et je le défendais comme je le pouvais, malgré les autres riders qui venaient interrompre mes séances d'entraînement. Park Town avait toujours été le centre de défis entre gangs, et je n'aimais pas que ce lieu où j'avais commencé le roller soit une zone de combats entre ces sportifs aux regards avares. Je ridais donc seul, près du terrain de basket, là où trois rails assez élevés se dressaient, et, après deux virages à gauches dans des couloirs loin d'être larges, se dressait une rampe que j'appréciais beaucoup. Je grindais à présent beaucoup mieux qu'à mes premiers essais, malgré cela, une chose me laissait sur ma faim; je ne maîtrisais pas suffisamment de tricks, et cela me faisait défaut, je ne Jumpais pas assez haut, ne tournais pas assez sur moi même, j'étais plus lent que les autres et plus désespéré que jamais. C'est une jeune femme qui montra la voie. Je tombais une énième fois en tentant de sauter au dessus d'un camion puis sur un rail élevé, et me relevais avec du mal, lorsque la fille m'aida en me prêtant son épaule.
C'était une belle demoiselle aux longs cheveux roux ondulés, de grands yeux bleus, un corps élancé et un sourire angélique. Elle portait des vêtements serrés et des rollers rouges et blancs. Je lui rendais son sourire et entamais une conversation. « Moi c'est KeyoX, je te remercie pour ça.
-Pas de problème. Moi c'est Ery. Qu'essaies-tu de faire ?
-Je veux rider sur le butting là-bas, puis sauter sur la camionnette et enfin sauter, faire un front flip et grinder sur le rail. C'est bien possible non ?
-Bien sur ! » Sur ce elle me sourit à nouveau et me lâcha. Elle prit de l'élan et partit à une vitesse hallucinante vers le butting. Elle sauta et le vent sembla la porter. Elle ne toucha presque pas le mur, mais prit appui et fit un saut gigantesque vers le camion. A peine touché qu'elle repartit aussitôt, accélérant. Elle sauta alors, et j'écarquillais les yeux. Elle se pencha en avant, roula sur elle-même et se rattrapa in extrémis sur la bordure en acier du grillage du terrain de basket. Le grind s'enchaîna alors, mais elle ne s'arrêta pas là. La belle rousse fit le tour du terrain à des mètres du sol, puis se laissa tomber, garda l'allure et fonça vers la rampe en face d'elle, elle tourna alors sur elle-même, un turn grip rapide et précis, et elle retomba majestueusement dans une posture théâtrale. Je tombais à terre et ne voyais plus très bien ce que je faisais là. Je l'admirais autant que je la détestais, pour cette démonstration fabuleuse et si technique, parce qu'une jeune femme me battait alors que je n'y arrivais pas, réaction puérile que je chassais aussitôt. Je me levais et parcourrais le chemin nous séparant, contournant ce terrain de basket, abandonné de nos jours pour le roller, et la rejoignant enfin, celle-ci se recoiffant. Je lui pris les mains et les serrais, et l'implorais de m'apprendre ce qu'elle venait de faire, tout ce qu'elle venait d'accomplir. Elle sourit et me baisa le front, je rougis tellement que mon écharpe recouvra bientôt tout mon visage, qu'elle s'empressa d'abaisser pour me fixer, nos yeux se contemplant. « Je pense que tu peux faire un bon rider, je t'ai souvent observé tu sais ?
-Je n'en ai jamais eu l'impression. Je sais que je peux être meilleur, mais s'entraîner seul est si ennuyant. Malheureusement, tu n'as sûrement pas le temps, j'ai cru voir l'emblème d'un gang...
-Ne t'inquiète pas pour eux... Regardes plutôt. Les garçons ! » Un groupe sortit alors des toits, une dizaine de jeunes hommes de mon age. Ils étaient tous différents, mais avaient tous un point commun, l'insigne d'un lion sur le blouson. Un lion...
Le plus grand des garçons s'approcha de moi. Il était assez carré, des traits durs et épais façonnaient son visage, des yeux marrons le rendaient étrange. La personne en face de moi devait sûrement être le chef du gang, c'était un homme plus qu'un adolescent. Je souriais, mais celui-ci me tendit la main. Je serrais alors celle-ci, espérant l'impressionner. C'est alors que celui-ci rit d'une grande et impressionnante voix, et la rousse éclata de rire elle-aussi. J'essayais de rire mais je ne trouvais pas la situation très drôle. Alors l'homme me sourit et dit de sa grosse voix : « Bienvenue chez les Rois Lion. »
Je découvris alors un monde étrange, excitant, d'aventures et d'amitié, de passion et de danger, et je ne regrettais pour rien au monde d'avoir enfilé ces rollers.
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KeyoX-
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CACADESBOIS-
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Re: Votre récit
KeyoX Lun 15 Déc - 13:06
Bah ce serait cool Histoire de donner son avis et de me dire si j'ai une chance, je crois que Acuado a fait ça pour ça ^^"
KeyoX-
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Re: Votre récit
Slyce Lun 15 Déc - 13:20
promi jle lirai bientot quand j'aurai appris a me calmer plus de 5 mn! 
Slyce- Rondelle Girl
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Localisation : à l'asile
Style de jeu : j'ai du style oui c'est pas faux
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Re: Votre récit
CACADESBOIS Lun 15 Déc - 13:55
Ahhhh j'ai fini de lire !!!
Hey KeyoX c'est ton fantasme la rousse ?
Puis à un moment j'ai franchement cru que ça allait se terminer en porno là !
non franchement très bien KEKE_LOL
(et puis sa réaction de se faire battre par une fille... puérile ? jsuis pas d'accord
)
Hey KeyoX c'est ton fantasme la rousse ?
Puis à un moment j'ai franchement cru que ça allait se terminer en porno là !
non franchement très bien KEKE_LOL
(et puis sa réaction de se faire battre par une fille... puérile ? jsuis pas d'accord
)
CACADESBOIS-
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Re: Votre récit
KeyoX Lun 15 Déc - 14:03
x'D
J'avoue qu'une belle rousse comme ça, j'aimerai bien :)
Bref suis content que tu aies aimé, je pense que j'ai donné pas mal la dessus (même si juste après l'avoir fini, j'ai eu l'impression que j'aurai pu faire mieux.)
Rooo veux les résultats !!!
J'avoue qu'une belle rousse comme ça, j'aimerai bien :)
Bref suis content que tu aies aimé, je pense que j'ai donné pas mal la dessus (même si juste après l'avoir fini, j'ai eu l'impression que j'aurai pu faire mieux.)
Rooo veux les résultats !!!
KeyoX-
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